Le Puech

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Le Puech
Le Puech
Croix de chemin Le Puech - Lodève.
Blason de Le Puech
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Lodève
Intercommunalité Communauté de communes du Lodévois et Larzac
Maire
Mandat
Bernard Goujon
2020-2026
Code postal 34700
Code commune 34220
Démographie
Gentilé Puéchois
Population
municipale
257 hab. (2021 en augmentation de 9,83 % par rapport à 2015)
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 41′ 43″ nord, 3° 18′ 54″ est
Altitude 262 m
Min. 98 m
Max. 385 m
Superficie 15,86 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Lodève
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lodève
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Le Puech (en occitan Lo Puòg) est une commune française située dans le nord du département de l'Hérault en région Occitanie.

Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par la Lergue, l'Aubaygues, le Roubieu et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (« le Salagou ») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Le Puech est une commune rurale qui compte 257 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Lodève. Ses habitants sont appelés les Puechois ou Puechoises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Carte de la commune du Puech.

Le village du Puech, situé sur un promontoire rocheux, tel qu'on le connaît aujourd'hui, est constitué de bâtiments construits en pierres locales rouges (ruffes de l'ère primaire) et en pierre noires volcaniques (basalte de l'ère quaternaire).

La commune de le Puech s'étend sur la rive droite de la Lergue, depuis Lodève jusqu'au lac du Salagou, d'Olmet-et-Villecun et Lavalette à l'ouest.

Plan cadastral de la section de Rabejac (1833)

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes du Puech
Olmet-et-Villecun Lodève
Lavalette du Puech Le Bosc
Octon Celles

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 992 mm, avec 7,8 jours de précipitations en janvier et 2,9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Soumont à 5 km à vol d'oiseau[3], est de 15,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 968,5 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux : « le Salagou »[8], d'une superficie de 12 794 ha, effectuant la transition entre la plaine languedocienne et les premiers contreforts de la montagne Noire et du Larzac. Outre l'aigle de Bonelli, trois autres espèces d'oiseaux ont également été prises en compte dans la délimitation de la ZPS, l'Outarde canepetière, le Blongios nain et le Busard cendré[9].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 2] est recensée sur la commune[10] : les « plateaux de l'Auverne et du puech Rouch » (800 ha), couvrant 5 communes du département[11] et deux ZNIEFF de type 2[Note 3],[10] :

  • le « bassin du Salagou » (8 089 ha), couvrant 12 communes du département[12] ;
  • le « cours moyen de l'Hérault et de la Lergue » (976 ha), couvrant 22 communes du département[13].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Le Puech est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[I 1],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lodève, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 19 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (72,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (72,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (46,7 %), forêts (25,6 %), zones agricoles hétérogènes (16 %), cultures permanentes (11,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,1 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune du Puech est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à deux risques particuliers : le risque minier et le risque de radon[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Lergue. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1996, 2006, 2014, 2015 et 2019[19],[17].

Le Puech est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 6],[20].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux du Puech.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[21]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 29,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 168 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 61 sont en aléa moyen ou fort, soit 36 %, à comparer aux 85 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[23].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[24].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

L’étude Scanning de Géodéris réalisée en 2008 a établi pour le département de l’Hérault une identification rapide des zones de risques miniers liés à l’instabilité des terrains[25]. Elle a été complétée en 2015 par une étude approfondie sur les anciennes exploitations minières du bassin houiller de Graissessac et du district polymétallique de Villecelle. La commune est ainsi concernée par le risque minier, principalement lié à l’évolution des cavités souterraines laissées à l’abandon et sans entretien après l’exploitation des mines[26].

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune du Puech est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[27].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme simple « Puech » vient d'un mot occitan signifiant « montagne », équivalent de puy, tous deux issus du bas-latin podium, signifiant hauteur, colline, piton.

Lieux-dits, et hameaux[modifier | modifier le code]

Les Hémies La Fourille Le Mas Delon Le Mas Caoudou Le Mas Cébérou Les Mouchères Les Crémades La Grange Rouge La Grande Baraque Les Bouissasses Les Olivières Bergerie de Deves La Planasse Rabejac Le Salagou Le Pont Las Fonts Le Moulin.

Histoire[modifier | modifier le code]

La trace la plus visible de l'occupation ancienne des terres rouges de la commune du Puech est un magnifique dolmen dressé il y a 5000 ans. Cependant, des sites encore plus anciens ont été repérés par les archéologues dans les vallées ceinturant le village.

Les colonisateurs romains ont eux aussi apprécié les lieux, et s'y sont installés dès le Ier siècle de notre ère. Ils ont même exploité des mines de cuivre, mises au jour par des travaux de la Cogéma il y a une dizaine d'années.

Au Moyen Âge, en 804, une « villa Pauchiacum », faisant suite sans doute à un domaine gallo-romain, est mentionnée. Un « castro de podio Alloayga » est cité en 1213 dans le cartulaire de Lodève, et l'église Saint Michel figure dans le pouillé de 1252.

Dès 1496, le village se nommait « Le Puech d'Aubaïgue »[28] (Alba aqua : eau blanche), aujourd'hui orthographiée Aubaygue, la rivière qui coule au pied du village avant de se jeter dans la Lergue.

Lors du contrat de mariage du 16/5/1496 entre sa fille Jehanne DEL PUECH et noble Louis de ROQUEFEUIL, noble Adhémar de PODIO (DEL PUECH), est dit seigneur de Puech Albayque[29].

La seigneurie appartint à la famille de Saint Julien, depuis les années 1640 jusqu'à la Révolution. Par convention du , reconnue le et ratifiée le [30], Pierre de Saint Julien, seigneur de la Devèze, acheta à Philippe de Bocaud, seigneur de Teyran et Jacou, président à la Cour des comptes, aides et finances, de Montpellier, les seigneuries du Puech d'Albaigue et de Romadoux, avec leurs dépendances, pour le prix de 29 000 livres ; le , Pierre de Saint Julien en paya le droit de lods à l'Évêque de Lodève.

La famille de Saint Julien résidait au château du Puech, et avait son tombeau dans l'église paroissiale Saint Michel.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
? 1946 Aimé Aussel    
1946 1953 Julien Combes    
1953 1956 Joseph Blanquet (décès)    
1956 1959 Julien Combes    
1959 1977 Jean Rabejac    
1977 2001 Max Quissol    
2001 2014 Joseph Fabre    
2014 En cours Bernard Goujon SE  
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[32].

En 2021, la commune comptait 257 habitants[Note 7], en augmentation de 9,83 % par rapport à 2015 (Hérault : +7,29 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
255240222281264250255279276
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
257274267222220202205218197
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
221204178149153156179175170
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
165142113129135189217221233
2017 2021 - - - - - - -
242257-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Circuit de randonnée inscrit au Plan Départemental des Itinéraires et Petites Randonnées de l'Hérault.
  • Église Saint-Michel du Puech. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie[35].
  • Chapelle Saint-Agricol des Hémies.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Le Puech Blason
D'azur à un mont (puech) isolé d'or sommé d'un créquier du même; à la bordure crénelée cousue de gueules.
Détails
La commune a adopté en 2014 les armes des seigneurs du Puech d'Aubaygues

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Fonds d'archives[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[7].
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Le Puech et Soumont », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Soumont » (commune de Soumont) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Soumont » (commune de Soumont) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  8. « Liste des zones Natura 2000 de la commune duPuech », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  9. « site Natura 2000 FR9112002 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune duPuech », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  11. « ZNIEFF les « plateaux de l'Auverne et du puech Rouch » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « ZNIEFF le « bassin du Salagou » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « ZNIEFF le « cours moyen de l'Hérault et de la Lergue » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a et b « Les risques près de chez moi - commune du Puech », sur Géorisques (consulté le ).
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  19. « Les risques majeurs dans l'Hérault », sur herault.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  20. « Les risques majeurs dans l'Hérault », sur herault.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  21. « Les risques majeurs dans l'Hérault », sur herault.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  23. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune du Puech », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  24. « Les risques majeurs dans l'Hérault », sur herault.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  25. « Étude Scanning de Géodéris », sur piece-jointe-carto.developpement-durable.gouv.fr, (consulté le ).
  26. « Les risques majeurs dans l'Hérault », sur herault.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque minier.
  27. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  28. Compoix du Puech de 1640
  29. source AD34 2E 40/5
  30. Archives départementales de l'Hérault, registre de 1651 de Pierre Marsal, notaire royal de Montpellier
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. « Eglise paroissiale Saint-Michel », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).